Une citation de Diane Setterfield
proposée le samedi 11 avril 2015 à 17:30:01Diane Setterfield - Ses citations
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Quand on est rien, on invente. Pour combler le vide.
Le Treizième Conte -
Diane Setterfield
La surface de mon esprit était parfaitement calme. Mais sous la surface, une houle montait des profondeurs, un courant sous-marin qui agitait les eaux. Pendant des années, une épave avait reposé dans les grands fonds, un vaisseau rouillé chargé d'une cargaison d'ossements. Mais maintenant, il bougeait. Je l'avais dérangé, j'avais provoqué une turbulence qui faisait monter des nuages de sable du fond de la mer. Les grains tourbillonnaient follement dans l'eau sombre et troublée.
Le Treizième Conte -
Diane Setterfield
Je me suis épuisé à courir après la lune.
Le Treizième Conte -
Diane Setterfield
On finit par si bien s'habituer à ses propres horreurs qu'on oublie la manière dont les autres les perçoivent.
Le treizieme conte -
Diane Setterfield
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