Une citation de René Goscinny
proposée le dimanche 10 mai 2015 à 14:30:01René Goscinny - Ses citations
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Je me suis toujours inspiré des pages roses du Petit Larousse pour faire parler mes Romains en latin. Il m'est arrivé de recevoir des lettres de latinistes distingués me signalant une incorrection dans telle ou telle phrase, je les renvoyais alors à la page tant du Petit Larousse. Moi, je ne peux pas faire d'erreurs… Je n'ai jamais fait de latin !.
A propos des citations latines dans les Astérix -
René Goscinny
Or si jamais un rêve avait été impraticable et insensé, c’était celui-ci : sauver la machine échouée sur les Douvres. Envoyer travailler sur ces roches un navire et un équipage serait absurde ; il n’y fallait pas songer. C’était la saison des coups de mer ; à la première bourrasque les chaînes des ancres seraient sciées par les crêtes sous-marines des brisants, et le navire se fracasserait à l’écueil. Ce serait envoyer un deuxième naufrage au secours du premier. Dans l’espèce de trou du plateau supérieur où s’était abrité le naufragé légendaire mort de faim, il y avait à peine place pour un homme. Il faudrait donc que, pour sauver cette machine, un homme allât aux rochers Douvres, et qu’il y allât seul, seul dans cette mer, seul dans ce désert, seul à cinq lieues de la côte, seul dans cette épouvante, seul des semaines entières, seul devant le prévu et l’imprévu, sans ravitaillement dans les angoisses du dénûment, sans secours dans les incidents de la détresse, sans autre trace humaine que celle de l’ancien naufragé expiré de misère là, sans autre compagnon que ce mort. Et comment s’y prendrait-il d’ailleurs pour sauver cette machine ? Il faudrait qu’il fût non seulement matelot, mais forgeron. Et à travers quelles épreuves ! L’homme qui tenterait cela serait plus qu’un héros. Ce serait un fou.
« Les Travailleurs de la mer », dans Œuvres complètes de Victor Hugo, vol. roman III, Victor Hugo, éd. Robert Laffont, 2002 (ISBN 2-221-09672-X), partie Première partie : Sieur Clubin, chap. I (« la perle au fond du précipice »), livre septième (« Imprudence de faire des questions à un livre »), p. 181 -
Victor Hugo
Dis à César que, quelles que soient ses ambitions, il ne sera jamais empereur… Pour que les corses acceptent un empereur, il faudrait qu'il soit corse lui-même !.
Astérix, tome 20 : Astérix en Corse -
René Goscinny
Le druide Informatix nous a dit des choses passionnantes sur l'avenir de la profession. ..
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René Goscinny
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