Une citation de Jean-Pierre Andrevon
proposée le samedi 16 mai 2015 à 01:00:01Jean-Pierre Andrevon - Ses citations
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L’amour, dépendant du hasard, en devenait fragile et irréel. Je me sentais appartenir au monde, son cœur, ses pulsations. La vie me semblait liquide. Tout coulait autour de moi comme la sève des arbres, comme la salive ou la sueur, comme les pluies d’orage, comme tout ce que j’imaginais de lui, son odeur et son souffle, sa force et sa douceur.
Appelez-moi par mon prénom -
Nina Bouraoui
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