Une citation de Stéphane Hoffmann
proposée le samedi 30 mai 2015 à 07:00:02Stéphane Hoffmann - Ses citations
Citations similaires
La cérémonie de l'Auchan, le samedi, est la grande préoccupation des dames briéronnes et de tout ce que Saint Nazaire comporte de briérons. La parade de la famille heureuse, la pavane du chariot, rempli à ras bord. Toute la semaine, Marie Caroline prépare avec soin ce jour à sa gloire : à sa manière d'écrire, sur sa liste adoucissant textile, on devine son bonheur.
Des garçons qui tremblent -
Stéphane Hoffmann
Ce qui est étrange dans l’acquisition de savoir, c’est que plus j’avance, plus je me rends compte que je savais même pas que ce que je ne savais pas existait. Voici peu de temps, je pensais sottement que je pouvais tout apprendre – acquérir tout le savoir du monde. Maintenant, j’espère seulement arriver à savoir que ce que je ne sais pas existe et en comprendre un miette. En aurais-je le temps ?.
Des fleurs pour algernon -
Daniel Keyes
« Il n’y a pas d’amour de vivre sans désespoir de vivre », ai-je écrit, non sans emphase, dans ces pages. Je ne savais pas à l’époque à quel point je disais vrai ; je n’avais pas encore traversé les temps du vrai désespoir. Ces temps sont venus et ils ont pu tout détruire en moi, sauf justement l’appétit désordonné de vivre. Je souffre encore de cette passion à la fois féconde et destructrice qui éclate jusque dans les pages les plus sombres de L’Envers et l’Endroit.
Préface de L'Envers et L'Endroit -
Albert Camus
Mais la nouvelle génération aux affaires n'est pas bonne, vous savez. Ils n'ont aucun talent. Ils ne créent pas de richesses, ils les exploitent. Ils sont toujours au service de l'argent, l'argent est leur maître. Or, l'argent est un serviteur, voilà pourquoi il faut le respecter, au moins le ménager.
Les autos tamponneuses -
Stéphane Hoffmann
Contribuer