Une citation de Véronique Olmi
proposée le lundi 06 juillet 2015 à 06:30:01Véronique Olmi - Ses citations
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Chaque événement, quand son rôle avait pris fin, se rangeait sagement, de lui-même, dans une boîte et devenait événement honoraire : tant on a de la peine à imaginer le néant. Maintenant, je savais : les choses sont tout entières ce qu'elles paraissent – et derrières elles. .. il n'y a rien.
La Nausée -
Sartre
Enfant, ce que j'aimais dans les jouets, c'étaient les catalogues. Ils me faisaient rêver à ce que je n'aurai jamais.
Le premier amour -
Véronique Olmi
Elle s'est levée et j'ai vu soudain que c'était une femme pleine de précipices, une femme qui luttait parce qu'avoir besoin de l'aide de quelqu'un était pour elle un véritable supplice. ..
Le premier amour -
Véronique Olmi
Maintenant je sais que la violence est aussi dans le silence, qu'elle est parfois invisible à l'oeil nu. la violence est ce temps qui recouvre les blessures, l'enchaînement irréductible des jours, cet impossible retour en arrière. La violence est ce qui nous échappe, elle se tait, ne se montre pas, la violence est ce qui ne trouve pas d'explication, ce qui à jamais restera opaque.
No et moi -
Delphine de Vigan
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