Une citation de Karine Giebel
proposée le mercredi 29 juillet 2015 à 05:00:01Karine Giebel - Ses citations
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Au début, la violence agit à ciel ouvert, et même avec orgueil. Mais, dès qu'elle se renforce, qu'elle est fermement établie, elle sent l'air se raréfier autour d'elle et elle ne peut survivre sans pénétrer dans un brouillard de mensonges, les déguisant sous des paroles doucereuses. Elle ne tranche pas toujours, pas forcément, les gorges ; le plus souvent, elle exige seulement un acte d'allégeance au mensonge, une complicité.
Le Cri. Le discours du prix Nobel - Article publié dans la revue L'EXPRESS, Paris, n° 1104, 4-11 septembre 1972, pages 66-73 (discours écrit mais non prononcé). -
Alexandre Soljenitsyne
Un monde sans femmes, ce serait comme. .. un monde sans eau, sans chaleur, sans. .. lumière. Un monde où on aurait toujours soif, toujours froid et toujours peur.
Jusqu'à ce que la mort nous unisse -
Karine Giebel
C'est ça, être vivant. C'est ça, exister. Exister, c'est manquer à quelqu'un. Exister, c'est être la douleur d'un autre.
Juste une ombre de Karine Giebel -
Karine Giebel
La vie, c'est déjà une lente agonie et rien d'autre. Une marche forcée vers l'issue fatale. On vient au monde sans l'avoir demandé, on va à la mort sans l'avoir choisi. Pas la peine d'en rajouter.
Juste une ombre de Karine Giebel -
Karine Giebel
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