Une citation de Yoko Ogawa
proposée le mardi 17 novembre 2015 à 21:30:01Yoko Ogawa - Ses citations
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La langue déguise la pensée. Et de telle manière que l'on ne peut, d'après la forme extérieure du vêtement, découvrir la forme de la pensée qu'il habille ; car la forme extérieure du vêtement est modelée à de tout autres fins qu'à celle de faire connaître la forme du corps.
Tractatus logico-philosophicus, Ludwig Wittgenstein (trad. Gilles Gaston Granger), éd. Gallimard Tel, 1993 (ISBN 2-07-075864-8), 4.002, p. 50 -
Ludwig Wittgenstein
Si vos oreilles émettent un drôle de bruissement, ne les frottez pas trop fort. Parce que dans la plupart des cas, ce sont les anges qui recousent leurs ailes sur vos lobes.
La Marche de Mina -
Yoko Ogawa
Sur l'échiquier apparaît tout du caractère de celui qui déplace les pièces, dit le maître du ton docte de celui qui lit un serment. Sa philosophie, ses émotions, son éducation, sa morale, son égo, ses désirs, sa mémoire, son avenir, tout. On ne peut rien dissimuler. Les échecs sont un miroir qui donne une idée de ce qu'est l'homme.
Le petit joueur d'échecs de Yôko Ogawa -
Yôko Ogawa
Les mots étaient tous mes amis. Ils donnaient une forme à tout ce qui était incertain, agaçant ou timide. Une forme de mot, rehaussée de bleu nuit.
La benediction inattendue -
Yoko Ogawa
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