Une citation de Jean-Marie Blas de Roblès
proposée le lundi 23 novembre 2015 à 16:00:01Jean-Marie Blas de Roblès - Ses citations
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Le vice est comme la poix, dès qu'on y touche, elle s'attache aux doigts.
Là ou les tigres sont chez eux -
Jean-Marie Blas de Roblès
On peut échapper à l'esclavage, quoique difficilement, mais jamais à plusieurs années de domestication ; et il s'agit bien de cela : un dressage organisé du corps et de l'esprit destiné à servir un seul but, l'obéissance. Alors désobéir, vous savez. .. Le mot lui-même n'a plus beaucoup de sens dans ces conditions. Il n'exprime guère qu'un refus temporaire de la loi, une parenthèse condamnable, certes, mais rémissible dans le corps même de l'obéissance.
Là ou les tigres sont chez eux -
Jean-Marie Blas de Roblès
Quand la mer lutte contre le sable, celui qui trinque, c'est le crabe, finit-il par dire doucement.
Là ou les tigres sont chez eux -
Jean-Marie Blas de Roblès
Confondante, cette façon qu'avait le corps de fabriquer des graisses lorsqu'il n'était pas suffisamment sollicité. .. Comme s'il prenait acte de nos moindres démissions devant la vie pour fournir, par un juste souci de compensation, une nourriture plus riche à ceux qui sauraient perpétuer le cycle après sa mort.
Là ou les tigres sont chez eux -
Jean-Marie Blas de Roblès
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