Une citation de Joseph Jolinon
proposée le mercredi 25 novembre 2015 à 20:00:01Joseph Jolinon - Ses citations
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Le corps à corps fou furieux du combat de rues, femmes et enfants au premier rang, guet-apens à chaque maison, coup de feu à chaque trou, mines sous chaque porte, assommoir des démolitions qui s'écrasent sur votre figure, insoutenable présence des cadavres qui s'accumulent, hache, pique, boulet, mitraille à bout portant, ruelles bloquées, maisons percées à la sape, cris d'appel mensongers, mêlées de groupes de dix et de groupes de cent, guerre individuelle du blessé contre sa propre mort à travers cette accumulation de catastrophes, recommencèrent de nouveau pour durer sans arrêts pendant trois semaines.
Guerrillas 1808, joseph jolinon, éd. charlot, 1942, p. 151 -
Joseph Jolinon
Comme ils se prenaient pour le peuple invincible par excellence, et comme ils l'étaient vraiment depuis des siècles, aucun revers ne les affectait. Ils étaient au-dessus de toi par principe et, au moindre appel, ils se regroupaient. Nous commencions par entrevoir que, pour avoir le dessus, il ne suffirait pas de tuer du monde, il faudrait abattre leur superbe. Et l'entreprise nous mènerait loin.
Guerrillas 1808, joseph jolinon, éd. charlot, 1942, p. 49 -
Joseph Jolinon
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