Une citation de Georges Bataille
proposée le samedi 19 décembre 2015 à 12:00:01Georges Bataille - Ses citations
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La poésie est une flèche tirée : si j'ai bien visé, ce qui compte - que je veux - n'est ni la flèche ni le but mais le moment où la flèche se perd, se dissout dans l'air de la nuit : jusqu'à la mémoire de la flèche est perdue.
Le coupable, p. 131 - cité par Gaston Puel dans Terre-Plein, éd. T. Bouchard, p. 71 -
Georges Bataille
Nous étions perdus dans une nuit de vent devant la mer.
Madame Edwarda, Le mort, Histoire de l'oeil, 10/18, 1990, p.35. -
Georges Bataille
L'homme n'existe que pour la société, qui ne le forme que pour elle : il doit donc employer au service de celle-ci tout ce qu'il a reçu de la nature et tout ce qu'il a reçu de la société, tout ce qu'il est et tout ce qu'il a.
Théorie du pouvoir politique et religieux dans la société civile,démontrée par le raisonnement et par l'Histoire. -
Louis-Gabriel de Bonald (Louis-Gabriel-Ambroise, vicomte de Bonald )
Je désanthropise le hasard. Je pénètre de plus en plus dans la mathématique contradictoire de l'univers. Ces deux dernières années, j'ai terminé quatorze toiles plus sublimes les unes que les autres. La Vierge et l'enfant Jésus éclatent sur tous mes tableaux. Là encore, j'applique la mathématique la plus rigoureuse : celle de l'archicube. Le Christ pulvérisé en huit cent quatre-vingt-huit éclats qui se fondent en un neuf magique.
Les moustaches radar -
Salvador Dali
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