Une citation de Boris Vian
proposée le jeudi 25 février 2016 à 14:30:01Boris Vian - Ses citations
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L'individu est comme la vague qui se soulève à la surface de l'eau. Elle ne peut s'en séparer tout à fait. Et elle retombe très vite dans la masse solidaire qui l'engloutit. Elle retombe toujours dans le mouvement irrésistible de la marée qui la porte. Mais pourquoi ne pas se soulever encore et encore et encore ?
les Ombres errantes, Grasset, p : 118 -
Pascal Quignard
Un de plus, un sans raison, mais puisque les autres se posent les questions des autres et leur répondent avec les mots des autres, que faire d'autre que d'écrire, comme les autres, et d'hésiter, de répéter et de chercher, de rechercher, de pas trouver, de s'emmerder et de dire ça sert à rien.
Je voudrais pas crever, 10/18, 1972, p.27. -
Boris Vian
La question ne se pose pas, il y a trop de vent.
Inédit Editions du Désatre 21 rue Visconti Paris -
Boris Vian
Les œuvres de la pensée ne sont que des jeux dérisoires : fantaisie, fariboles, suggestion, blague et fichaise.
Jazz -
Marcel Pagnol
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