Une citation de James Sallis
proposée le vendredi 24 juin 2016 à 14:30:01James Sallis - Ses citations
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Il faudrait qu’on pût limiter les pouvoirs d’un négociateur sans trop resserrer ses talents, ou du moins, ne pas le gêner dans l’exécution de ses ordres On le réduit à traiter, non selon son propre génie, mais selon l’esprit du ministre, dont il ne fait que porter les paroles, souvent opposées à ses lumières Est-il si difficile de trouver des hommes assez fidèles et assez habiles, pour leur confier le secret et la conduite d’une négociation ? ou serait-ce que les ministres veulent être l’âme de tout, et ne partager leur ministère avec personne ? Cette jalousie de l’autorité a été portée si loin par quelques-uns, qu’ils ont prétendu conduire, de leur cabinet, jusqu’aux guerres les plus éloignées, les généraux étant tellement asservis aux ordres de la cour, qu’il leur était presque impossible de profiter de la faveur des occasions, quoiqu’on les rendit responsables des mauvais succès.
Réflexions et Maximes -
Vauvenargues
Les vieilles peur ne s'oublient pas aussi facilement.
Le faucheux, James Sallis, éd. Gallimard, 2010, p. 14 -
James Sallis
Toujours, en filigrane, une lueur dans notre vie doit briller.
Le faucheux, James Sallis, éd. Gallimard, 2010, p. 148 -
James Sallis
Peut-être le meilleur de notre vie appartient-il toujours au passé. Le bonheur, la plénitude, peut-être ces choses n'existent-elles que dans le souvenir, à travers le filtre du temps, fugaces fantômes derrière nous à jamais.
Le faucheux, James Sallis, éd. Gallimard, 2010, p. 202 -
James Sallis
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