Une citation de Claude Pujade-Renaud
proposée le mercredi 17 août 2016 à 22:00:06Claude Pujade-Renaud - Ses citations
Citations similaires
Dire la violence, et ce qui est en deçà du langage, ma fusion et la déchirure, les cris, les balbutiements. Dire le manque et la plénitude et la toute-puissance. Pas encore de dents et la dévoration cependant. La violence, oui ! De la mère sur l'enfant. Et celle qu'il exerce sur sa mère. Cette fureur du nouveau-né, ces fureurs bleues, violacées, cet air en colère, tellement fâché, et soudain une béatitude limpide dans laquelle j'aimais me laisser absorber.
Les Femmes du braconnier -
Claude Pujade-Renaud
Parfois je ne sais plus si je t'aime. Ou si je m'aime moi t'aimant.
Dans l'ombre de la lumière de Claude Pujade-Renaud -
Claude Pujade-Renaud
Je me tais, je hais cette Eglise qui s'enferme de plus en plus dans ses croyances et ses institutions.
Dans l'ombre de la lumière -
Claude Pujade-Renaud
Depuis si longtemps, tu n'as pas visité mes rêves. Suis-je en train de mourir ?
Dans l'ombre de la lumiere -
Claude Pujade-Renaud
Contribuer