Une citation de Marie Susini
proposée le lundi 12 septembre 2016 à 13:30:01Marie Susini - Ses citations
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Un train filant en sens inverse raie brusquement la vitre d'un long ruban de visages à peine entrevus, sans cesse renouvelés, de plus en plus brouillés, jette mille couleurs, passe vite et disparaît.
Le premier regard, Le Livre de Poche n°4722, 1976, p.93 -
Marie Susini
Comment contenir la joie dans le silence, quand le coeur bat trop fort ?
La Fiera, Le Livre de Poche n°4097, 1975, p.45. -
Marie Susini
Le rêve ne suffit plus. Il faut le bal. Il faut la voix de l'homme à son oreille. Il approche, il est près d'elle avec la joie dans ses bras. Ce n'était plus une nostalgie.
La Fiera, Le Livre de Poche n°4097, 1975, p. 102. -
Marie Susini
Elle a fermé la porte de sa chambre, et c'est là, le commencement. Parce qu'avant, elle ne la fermait jamais. La porte restait comme ça ouverte et alors on faisait la conversation, le soir et le matin avant de se lever.
Le premier regard, Le Livre de Poche n°4722, 1976, p.57. -
Marie Susini
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