Une citation de Marie-Louise Audiberti
proposée le jeudi 22 septembre 2016 à 06:00:01Marie-Louise Audiberti - Ses citations
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Ne laisse pas trop tes enfants traîner. — Mais que crains-tu ? — Les ogres, je crains les ogres ! Mon cœur ne m'autorise pas à t'en dire davantage. On voit ses enfants grandir mais on ne les voit jamais vieillir. C'est ainsi.
Le cœur cousu -
Carole Martinez
Qu'il est touchant de voir deux amis vieillir ensemble! la jeunesse semble se prolonger tant que le compagnon de notre jeune âge n'est point perdu.
Pensées extraites de tous les ouvrages de Johann Paul Friedrich Richter dit Jean-Paul -
Jean-Paul
La vie coule. La vie, quand on a la vie, est si fluctuante, flottante, rapide aussi, qu’elle se laisse rarement serrer entre les doigts. Elle coule comme du sable, mais le sable, tel qu’il apparait grossi 800 fois à la Galerie de l’évolution, se présente comme de gros cailloux aux formes multiples. La vie, si on la regarde dans une gigantesque loupe, charrie d’énormes roches. Un fois vécus, rien ne peut abolir les instants ou les modifier.
Les chemins de l'âge de Marie-Louise Audiberti -
Marie-Louise Audiberti
L'âge, cet autre nord qui nous glace et nous ride, de la fille aux doux yeux fait un spectre livide.
Les chemins de l'âge -
Marie-Louise Audiberti
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