Une citation de Véronique Ovaldé
proposée le dimanche 30 octobre 2016 à 16:11:18Véronique Ovaldé - Ses citations
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Mais les rencontres sont finalement une accumulation de coïncidences qui fait que deux personnes, essayant de résister à la malice du destin et de détourner les chemins qui les mènent l'une vers l'autre, se dirigent inexorablement vers une collision fatale.
Ce que je sais de Vera Candida, Edition France Loisirs 2009, page 148 -
Véronique Ovaldé
Il était bien, me disais-je, qu'en me demandant sans cesse ce qu'elle pouvait faire, penser, vouloir à chaque instant, si elle comptait, si elle allait revenir, je tinsse ouverte cette porte de communication que l'amour avait pratiquée en moi, et sentisse la vie d'une autre submerger, par des écluses ouvertes, le réservoir qui n'aurait pas voulu redevenir stagnant.
Albertine disparue -
Marcel Proust
Ta mémoire est une immense commode avec des millions de tiroirs et parfois les tiroirs sont coincés,.
Ce que je sais de Vera Candida -
Véronique Ovaldé
Il y a un âge où l’on ne fait qu’accentuer sa pente.
Des vies d'oiseaux -
Véronique Ovaldé
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