Une citation de Jocelyne Saucier
proposée le mercredi 16 novembre 2016 à 07:30:01Jocelyne Saucier - Ses citations
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La folie n’était peut-être que cela, un trop-plein de tristesse, il fallait simplement lui donner de l’espace.
Il pleuvait des oiseaux de Jocelyne Saucier -
Jocelyne Saucier
Mais qu'un homme possède des terres qu'il ne voit pas ou qu'il n'a pas le temps de passer à travers ses doigts, ou qu'il ne peut pas aller s'y promener. .. alors, c'est la propriété qui devient l'homme, Il ne peut pas faire ce qu'il veut, il ne peut pas penser ce qu'il veut. C'est la propriété qu'est l'homme, elle est plus fort que lui. Et il est petit au lieu d'être grand. Il n'y a que la propriété qui est grande. .. et il en est le serviteur.
Les Raisins de la colère de John Steinbeck -
Steinbeck
Un homme qui passe les vingt dernières années de sa vie à s'arracher la tête pour donner un sens à des taches de couleur a énormément à dire.
Il pleuvait des oiseaux -
Jocelyne Saucier
J'ai dix-sept ans sur cette photo et je crois qu'un jour je serai quelqu'un d'autre, mais je sais qu'il n'en sera rien. Je serai toujours aux prises avec cette exigence qui me porte à vouloir élever un être supérieur sur les gravats de ma personne.
Jeanne sur les routes -
Jocelyne Saucier
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