Une citation de Jean Giono
proposée le mercredi 14 octobre 2009 à 18:12:15Jean Giono - Ses citations
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Les mots ne suffirent plus. A force de tout se passer en mots, le plaisir restait en suspens, on s’énervait à attendre l’essentiel. Il fallait aller plus loin. Quel bonheur de s’approcher coûte que coûte de ce paroxysme !”
Le Moulin de Pologne, Gallimard. -
Jean Giono
La chaleur pétillait sur les tuiles. Le soleil n’avait plus de corps ; il était frotté comme une craie aveuglante sur tout le ciel ; les collines étaient tellement blanches qu’il n’y avait plus d’horizon.
Le hussard sur le toît, Gallimard, Collection Folio n°240, 1985, p158. -
Jean Giono
Dans la vie courante (qui est la nôtre) il n’y a vraiment jamais de quoi rire à ventre déboutonné, notre corps n’en a pas l’habitude (tandis que ricaner, on sait le faire).
Le Moulin de Pologne'', Gallimard, Collection ''Folio'' n°274, 1983, p.110. -
Jean Giono
Il y a des moments de la vie où une sorte de beauté naît de la multiplicité des ennuis qui nous assaillent.
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Marcel Proust
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