Une citation de Paulo Coehlo
proposée le dimanche 18 octobre 2009 à 11:37:55Paulo Coehlo - Ses citations
Citations similaires
Tout l'ésotérisme philosophique des pays orientaux, confronté à la vie réelle, se révélait être un sous-produit de l'inquiétude, de la névrose, de l'égarement et de l'opportunisme occidentaux, autrement dit de la crise des principes du capitalisme.
La solitude lumineuse Folio - page 27 -
Neftalí Ricardo Reyes Basoalto dit Pablo Neruda
Celui qui est capable de maîtriser son coeur est capable de conquérir le monde.
Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré -
Paulo Coehlo
Je sais que l'amour est comme les barrages : si vous laissez une fissure par où puisse s'infiltrer un filet d'eau, peu à peu celui-ci ronge les murs, et il arrive un moment où personne ne peut plus contrôler la force du courant. Si les murs s'effondrent, l'amour s'empare en maître de tout ; il n'y a plus à se demander ce qui est possible et ce qui ne l'est pas, si l'on peut ou non garder à son côté l'être aimé. .. Aimer, c'est perdre le contrôle.
Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré -
Paulo Coehlo
Aussi vaut-il mieux perdre quelques combats en luttant pour ses rêves que d'être battu sans seulement savoir pour quoi on lutte.
Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré -
Paulo Coehlo
Contribuer