Une citation de Aristophane
proposée le lundi 14 août 2017 à 08:00:01Aristophane - Ses citations
Citations similaires
Je passai une rue puis une autre, grelottant, lorsque tout à coup je sentis — non, je ne la sentis point : elle me croisa, impétueuse : la Parole. Cette rencontre inattendue me paralysa un moment — assez pour lui donner le temps de retourner à la nuit. Remis, je réussis quand même à la saisir par sa chevelure flottante. Et je tirai désespérément ces fibres qui s'allongeaient à l'infini, fils télégraphiques qui s'éloignaient avec le paysage entrevu, note qui monte, s'amenuise, s'étire, s'étire. .. Et je me retrouvai seul au milieu de la rue, une plume rouge dans mes mains violacées.
Liberté sur parole (1958), Octavio Paz (trad. Jean-Clarence Lambert), éd. Gallimard, coll. Poésie, 1966 (ISBN 2-07-031789-7), partie II. AIGLE OU SOLEIL ? (1949-1950), Travaux du poète — III, p. 48 -
Octavio Paz
Où l'on est bien, là est la patrie.
Ubi bene, ibi patria : où l'on est bien, là est la patrie - Aristophane dans sa pièce Ploutos au vers 1151 -
Aristophane
Jamais tu ne feras qu'un crabe marche droit.
La Paix -
Aristophane
LE CHŒUR DES VIEILLARDS : Il faut faire face à la situation, en vrais mâles bien pourvus...
Lysistrata -
Aristophane
Contribuer
