Une citation de Bernhard Schlink
proposée le jeudi 05 octobre 2017 à 16:00:01Bernhard Schlink - Ses citations
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Je ne veux pas dire que pensée et décision sont sans influence sur les actes. Mais les actes n'exécutent pas simplement ce qui a été préalablement pensé et décidé. Ils ont leur source propre et sont les miens de façon tout aussi autonome que ma pensée est ma pensée, et ma décision ma décision.
Le Liseur Gallimard, 1997, p.25. -
Bernhard Schlink
Les radars, c'est pas fait, en tout cas dans mon esprit, pour remplir les caisses de l'Etat, parce que vous avez raison, ce serait scandaleux d'enlever les panneaux qui préviennent(...) Bien sûr que les panneaux seront maintenus(..) Moi, je suis candidat à la Présidence de la République Française, il y a un devoir de sincérité des responsables politiques ; [...] On ne peut pas dire n'importe quoi parce qu'on est en campagne présidentielle. Moi je veux vous dire la vérité
Déclarations du candidat Nicolas Sarkozy sur RTL, le 3 mai 2007, évoquant les panneaux qui annoncent la présence des radars -
Nicolas Sarkozy
Il faut être heureux pour pouvoir rendre heureux. Il faut se faire plaisir pour pouvoir contribuer au mieux-être des autres. Et, même si l’on ne rend heureux que soi-même, chaque miette de bonheur qui advient fait du monde un lieu plus heureux, que cette miette soit à vous ou à autrui.
Amours en fuite -
Bernhard Schlink
Vous avez raison, monsieur, quand vous me dites que le livre les Misérables est écrit pour tous les peuples. Je ne sais s’il sera lu par tous, mais je l’ai écrit pour tous. Il s’adresse à l’Angleterre autant qu’à l’Espagne, à l’Italie autant qu’à la France, à l’Allemagne autant qu’à l’Irlande, aux républiques qui ont des esclaves aussi bien qu’aux empires qui ont des serfs. Les problèmes sociaux dépassent les frontières. Les plaies du genre humain, ces larges plaies qui couvrent le globe, ne s’arrêtent point aux lignes bleues ou rouges tracées sur la mappemonde. Partout où l’homme ignore et désespère, partout où la femme se vend pour du pain, partout où l’enfant souffre faute d’un livre qui l’enseigne et d’un foyer qui le réchauffe, le livre les Misérables frappe à la porte et dit : Ouvrez-moi, je viens pour vous.
Lettre à M. Daelli éditeur de la traduction italienne des Misérables , Hauteville-House, 18 octobre 1862. -
Victor Hugo
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