Une citation de Anne Wiazemsky
proposée le mercredi 27 décembre 2017 à 10:57:56Anne Wiazemsky - Ses citations
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Mon père jugeait que l'éducation des enfants était l'affaire des femmes. Il promettait de prendre le relais dès que j'approcherais de l'âge adulte. Malheureusement, il mourut avant. Que m'aurait-il enseigné ? Je crois qu'il m'aurait désigné l'horizon et encouragée à aller de l'avant.
Une poignée de gens -
Anne Wiazemsky
Maman, depuis fort longtemps, se protégeait par le silence en espérant que ce qui ne se disait pas n'avait pas d'existence.
Une annee studieuse -
Anne Wiazemsky
Il ne subsiste vraiment plus rien de Baïgora. Mais les lieux et les personnes existent tant qu'on pense à eux. Quelque chose de ce qu'ils ont été palpite encore et me les rend mystérieusement proches. Grâce au Livre des Destins.
Une poignee de gens -
Anne Wiazemsky
Avec Jean-Luc, on s’était aimés à cause du cinéma. Lui parce qu’il m’avait repérée dans Au hasard Balthazar, moi parce que j’avais aimé ses films. Et on s’est séparés parce que nous avions chacun une idée différente du cinéma, moi traditionnelle et lui plus du tout.
Entretien Paris Match mai 2017 - Propos recueillis par Karelle Fitoussi -
Anne Wiazemsky
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