Une citation de Alberto Moravia
proposée le mercredi 14 février 2018 à 01:00:01Alberto Moravia - Ses citations
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Bref, nous ne nous jugions pas : nous nous aimions.
Le mépris, Alberto Moravia, J’ai Lu n°479, 1973, p.5. -
Alberto Moravia
Ce fut alors que je devins peintre ; je veux dire que j'espérai rétabli une fois pour toutes, au moyen de l'expression artistique, mon rapport à la réalité.
L'ennui, GF-Flammarion, n°451, 1986, p.57. -
Alberto Moravia
Tout ceci passa dans mon esprit rapidement, tumultueusement, comme le tourbillon de vent qui s'engouffre dans la chambre dont la fenêtre s'est ouverte à l'improviste et qui apporte avec lui feuilles, poussière et débris de toute sorte. Et de même qu'une fois la fenêtre close, la chambre retrouve aussitôt son silence et son immobilité, ainsi mon esprit se vida et se tut d'un seul coup et je me retrouvai, anéanti, les yeux perdus dans la nuit, insensible et sans pensées.
Le Mépris -
Alberto Moravia
J'ai remarqué que plus on est envahi par le doute, plus on s'attache à une fausse lucidité d'esprit avec l'espoir d'éclaircir par le raisonnement ce que le sentiment a rendu trouble et obscur.A cette heure où mon instinct ne me donnait que réponses contradictoires, je voulus recourir à une enquête raisonnée, menée à la façon d'un détective de roman policier
Le mépris -
Alberto Moravia
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