Citations sur nation

Car mesme la nation des sycophantes, c'est à dire des calomniateurs, est de la confrairie des curieux, toutefois encore ces calomniateurs là recherchent s'il y a aucun qui ait commis ou voulu commettre quelque malefice....

Or est-ce une nation insatiablement avaricieuse comme ilz montrerent bien alors

La plus muable et desloyale nation qui soit au monde

Un de ces grands objets, le plus digne peut-être de l'admiration de la postérité, est la mesure de la terre ; il est important de connaître la figure et les dimensions du globe ; c'est à la nation française et à l'Académie des sciences qu'est due cette connaissance

Elle [une favorite] répondit avec une fierté digne de sa nation [espagnole] et du pays d'où nous sont venues les rodomontades....

Les esclaves de tout âge, de tout sexe et de toute nation sont un objet considérable de commerce dans toute la Grèce

Thémistocle, qui voulait rendre sa nation la plus puissante de la Grèce, pour en être le premier citoyen, fit creuser un nouveau port, construire un plus grand nombre de galères

Certes il ne sera pas dit qu'avec ce cortége de vertus surannées et des rhapsodies de moeurs antiques, Phocion sera assez fort pour corriger la plus aimable nation de l'univers

Bientôt l'ennui des pièces françaises porterait la nation au frivole opéra comique, et plus loin encore aux boulevards, à ce ramas infect de tréteaux élevés à notre honte

Que si cette inscription est de quelque nation ancienne qui ne subsiste plus, elle étend notre âme dans les champs de l'infini

Sais-tu bien cependant, sous cette humilité, L'orgueil que quelquefois nous cache une bigote, Alcippe, et connais-tu la nation dévote ?

Connais-tu la nation dévote ?

Je savais que la nation des poëtes, et surtout des mauvais poëtes, est une nation farouche qui prend feu aisément, et que ces esprits avides de louanges ne digéreraient pas facilement une raillerie, quelque douce qu'elle pût être

Les idées qu'elle [la nation juive] avait conçues de son Christ

Pourquoi me déchirez-vous par vos blasphèmes, nation impie ?

Ceux qui sont instruits des affaires.... en accusent [des excès contre la royauté] la fierté indomptable de la nation [anglaise]

Depuis qu'il [Hérode] eut attaqué cette assemblée [le sanhédrin], qui était comme le sénat fondé par Moïse et le conseil perpétuel de la nation où la suprême juridiction était exercée

Des évêques [anglicans] qui ont anéanti eux-mêmes l'autorité de leur chaire... en condamnant ouvertement leurs prédécesseurs jusqu'à la source même de leur sacre, c'est-à-dire jusqu'au pape saint Grégoire et au saint moine Augustin son disciple et le premier apôtre de la nation anglaise

Car que peuvent des évêques qui ont anéanti eux-mêmes l'autorité de leur chaire et la révérence qu'on doit à la succession, en condamnant ouvertement leurs prédécesseurs jusqu'à la source même de leur sacre, c'est-à-dire jusqu'au pape saint Grégoire et au saint moine Augustin son disciple et le premier apôtre de la nation anglaise ?

Quand on regarde la facilité incroyable avec laquelle la religion a été renversée ou rétablie par Henri, par Marie et par Élisabeth, on ne trouve ni la nation si rebelle, ni ses parlements si fiers et si factieux

La France, seule nation de l'univers qui depuis douze siècles presque accomplis n'a jamais vu sur le trône que des princes enfants de l'Église

Pourquoi me déchirez vous par vos blasphèmes, nation impie ?

Le saint moine Augustin, son disciple [du pape saint Grégoire] et le premier apôtre de la nation anglaise

Les moeurs corrompues de la nation les entraînaient bientôt dans les plaisirs, contre lesquels nulle éducation ne peut tenir

Que sera-ce, quand Jésus-Christ.... leur dira d'une voix terrible : Pourquoi me déchirez-vous par vos blasphèmes, nation impie ?