Citations sur bec

Esperance tenoit.... l'anel de la verge d'un ancre d'or, dont le bec estoit fiché dedans les cieulx

Lorsque Rameau donna son premier opéra (Hippolyte et Aricie, 1733), l'instrumentation avait fait de grands progrès : la flûte traversière, qu'on appelait alors flûte allemande, avait remplacé la flûte à bec ; les hautbois s'étaient perfectionnés, se jouaient avec des anches plus fines et avaient acquis plus de douceur et de moelleux

Si quelqu'un assis bec à bec raconte....

De leur petit bec artisan

Et ceste paille en passa par le bec du dict marquis, qui ne fut faict là general

Nous lui donnasmes tant du bec et de l'aile qu'il nous creut

Le fauperdrieux est quelque peu de moindre corpulence qu'un milan ; toutes fois plus haut enjambé, ayant le bec et les ongles moins crochus que tous les autres oiseaux de rapine

Ce gros bec leur donne [aux toucans] une physionomie triste et sérieuse que leurs grands yeux fades et sans feu augmentent encore

Ce bec [du calaos] n'a point de prise ; sa pointe, comme dans un long levier très éloigné du point d'appui, ne peut serrer que mollement ; sa substance est si tendre qu'elle se fêle à la tranche par le plus léger frottement

Ils [des oiseaux] savent entrelacer avec leur bec cette matière filamenteuse et en former un tissu épais et serré, presque semblable à du drap

Leur bec droit, conique, est un peu crochu à son extrémité et les bords sont finement dentelés

M. Edwards observe que le bec de cette barge fléchit en haut, comme celui de l'alouette, caractère dont la plupart des barges portent quelque légère trace

Il [le pic noir] fait entendre aussi par intervalles un craquement ou plutôt un frôlement qu'il fait avec son bec en le secouant et le frottant rapidement contre les parois de son trou

De la base du bec prend naissance une sorte de gorgerette formée d'une poche, laquelle tombe et flotte librement sur la gorge et la partie supérieure du cou

L'huîtrier n'a son bec en hoche que pour ouvrir les écailles d'entre lesquelles il tire sa pâture

Hérodote avait très bien caractérisé l'ibis, en disant qu'il a le bec fort arqué et la jambe haute comme la grue ; il en distingue deux espèces

Leur port [des goëlands et des mouettes] ignoble, leurs cris importuns, leur bec tranchant et crochu, présentent les images désagréables d'oiseaux sanguinaires et bassement cruels

Le bec est incarnat et les pieds sont cendrés

Le morillon est un joli petit canard, qui pour toutes couleurs n'offre, lorsqu'on le voit en repos, qu'un large bec bleu

Pour établir un terme de comparaison dans cette échelle de grandeur, nous prendrons pour goëlands tous ceux de ces oiseaux dont la taille surpasse celle du canard, et qui ont dix-huit ou vingt pouces de la pointe du bec à l'extrémité de la queue, et nous appellerons mouettes tous ceux qui sont au-dessous de ces dimensions

Son bec est très offensif par le tranchant de ses lames et par le croc qui le termine

Il a les bords du bec supérieur non pas droits mais ondés

Le freux a le bec moins gros, moins fort et comme râpé

Les fourmiliers, par leur espèce de bec ou de trompe sans dents et par leur longue langue, nous rappellent les oiseaux

Les bords du bec inférieur rentrants et reçus dans le bec supérieur