Citations sur iii 2

Tout a fléchi sous leur menace

[La paix].... Et de la majesté des lois Appuyant les pouvoirs suprêmes, Fait demeurer les diadèmes Fermes sur la tête des rois

Le roy estoit trop puissant et avoit son fait bien acoustré

N'estoit point vray, mais toute mensonge, ou peu s'en failloit

Donne ordre que sous ton génie Se termine cette manie ; Et que, las de perpétuer Une si longue malveillance, Nous employions notre vaillance Ailleurs qu'à nous entre-tuer

Que saurait enseigner aux princes Le grand démon qui les instruit, Dont ta sagesse en nos provinces Chaque jour n'épande le fruit ?

Ce sera dessous cette égide Qu'invincible de de tous côtés...

C'est en la paix que toutes choses Succèdent selon nos désirs ; Comme au printemps naissent les roses, En la paix naissent les plaisirs

Tu remettras en assurance Leur salut qui fut déploré

Que saurait enseigner aux princes Le grand démon qui les instruit

Et trois ou quatre seulement, Au nombre desquels on me range, Peuvent donner une louange Qui demeure éternellement

Et que de ses intelligences qu'on luy disoit avoir au pays dudit duc n'estoit point vray, mais toute mensonge ou peu s'en falloit

Il en portoit les armoiries en faulx escu ou chargeure sur les siennes, que les dits mauvais blasonneurs appellent sur le tout

Et chargez de perles vos têtes Comme quand vous allez aux fêtes Où les dieux vous font appeler

Nos brutales perfidies

Le monde n'est qu'une bransloire perpetuelle, toutes choses y branslent sans cesse, la terre, les rochiers du Caucase, les pyramides d'Aegypte, et du bransle publicque et du leur ; la constance mesme n'est autre chose qu'un bransle plus languissant

Tout nous rit et notre navire A la bonace qu'il désire

Lors congneut le dit duc que ses besongnes alloient mal, car il n'avoit ame avec lui

Qui ne pensait que les furies Viendraient des abîmes d'enfer En de nouvelles barbaries Employer la flamme et le fer