Citations sur sat. xi

Et moi : maudit soit-il, m'amour, qui le fera !

Ils contrefont le guet, et de voix magistrale....

Êtes-vous travaillé de la lycanthropie ?

Sachant bien que fortune est ainsi qu'une louve, Qui sans choix s'abandonne au plus laid qu'elle trouve

Et les linceuls [draps] trop courts par les pieds tirassoit

[Draps de lit] Blanchis en un civet, non dans une lessive

Dieu sait quels lacs d'amour, quels chiffres, quelles fleurs...

Ou me baillant d'un : Jean, Jeanne vous remercie

La vertu n'était point sujette à l'ostracisme, Ni ne s'appelait point alors un jansénisme

Même aux yeux de l'injuste un injuste est horrible

Un injuste guerrier, terreur de l'univers

Le nouveau roi [le faux honneur] triomphe, et, sur ce droit inique, Bâtit de vaines lois un code fantastique

Des biens que l'hypocondre en ses vapeurs promet

Or comme à coups de pied l'huis s'était presque ouvert

On n'y peut plus souffrir ses vertus hors de mode

Mais l'honneur en effet qu'il faut que l'on admire, Quel est-il, Valincourt, pourras-tu me le dire ? L'ambitieux le met souvent à tout brûler

Un fourbe cependant, assez haut de corsage

Un fourbe cependant, assez haut de corsage, Et qui lui ressemblait [à l'honneur] de geste et de visage, Prend son temps, et partout ce hardi suborneur S'en va chez les humains crier qu'il est l'honneur

C'est, malheureuse, toi qui me portes guignon

La porte en était basse et semblait un guichet

Ils contrefont le guet et de voix magistrale : Ouvrez de par le roi ! tout de bon le guet vint

Un injuste guerrier, terreur de l'univers

... une lanterne vive [lanterne magique] Où des oisons bridés, guenuches, éléphants, Chiens, chats, lièvres, renards et mainte étrange bête Courent l'une après l'autre....

Que jamais on n'est grand qu'autant que l'on est juste

Un baril défoncé, deux bouteilles sur cul, Qui disaient, sans goulet : nous avons trop vécu