Citations sur tel. iv

Nous passâmes au travers des écueils, et nous vîmes de près toutes les horreurs de la mort

Apprenez une autre fois à parler plus sobrement de tout ce qui peut vous attirer quelque louange

Le char d'Amphitrite, traîné par des chevaux marins, plus blancs que la neige, et qui, fendant l'eau salée, laissaient loin derrière eux un vaste sillon dans la mer

Hâtez-vous, dit-elle, mon cher Télémaque, de satisfaire ma curiosité

Allons retrouver Calypso

Calypso.... l'interrompit pour lui faire prendre quelque repos

Les tritons conduisaient les chevaux, et tenaient les rênes dorées

Vénus remontant vers l'Olympe, je vis longtemps son char avec ses deux colombes dans une nuée d'or et d'azur ; puis elle disparut

Hazael, me regardant [moi agenouillé] avec un visage doux et humain, me tendit la main et me releva

Pendant notre navigation les vents nous ont contraints de relâcher dans l'île de Cypre

Quoi donc ! répondit Télémaque, pouvais-je refuser à Calypso de lui raconter mes malheurs ?

Il est venu faire ses offrandes au temple

On les couvre [les victimes] de bandelettes de pourpre brodées d'or, leurs cornes sont dorées et ornées de bouquets de fleurs odoriférantes

Les immenses baleines et tous les monstres marins faisant avec leurs narines un flux et un reflux de l'onde amère

Nous montions sur le dos des vagues

Un nuage qui se dissipait de dessus mes yeux

Oh ! que ne suis-je couvert de cheveux blancs, courbé et proche du tombeau comme Laërte, mon aïeul !

Ici la terre ne porte pour fruits que du poison ; les hommes, contagieux, ne se parlent que pour se communiquer un venin mortel

Après venaient des tritons qui sonnaient de la trompette avec leurs conques recourbées

L'air de mollesse des jeunes filles, l'art de composer leurs visages, leur parure vaine, tout ce que je voyais dans ces femmes me semblait vil et méprisable

Je ne vous demande que votre coeur

Personne ne conservait assez de présence d'esprit, ni pour ordonner les manoeuvres, ni pour les faire

Télémaque lui demanda l'hospitalité

Je pris le gouvernail en main

Une joie douce et pleine d'un ferme courage renaissait dans mon coeur ; cette joie était bien différente de cette autre joie molle et folâtre dont mes sens avaient été d'abord empoisonnés