Citations sur tart. v 7

Pourquoi consentiez-vous à rien prendre de lui ?

Un emploi ne saurait être que glorieux, Quand il vient du pouvoir [le roi] qui m'envoie en ces lieux

Délivrez-moi, monsieur, de la criaillerie

Remettez-vous, monsieur, d'une alarme si chaude

C'est le coup, scélérat, par où tu m'expédies ; Et voilà couronner toutes tes perfidies

C'est le coup, scélérat, par où tu m'expédies ; Et voilà couronner toutes tes perfidies

Traître, tu me gardais ce trait pour le dernier

Et je sacrifierais à de si puissants noeuds Amis, femme, parents et moi-même avec eux

Remettez-vous, monsieur, d'une alarme si chaude

C'est le coup, scélérat, par où tu m'expédies, Et voilà couronner toutes tes perfidies

D'un souverain pouvoir il [le roi] brise les liens Du contrat qui lui fait un don de tous vos biens

Tout beau, monsieur, tout beau ; ne courez point si vite, Vous n'irez pas fort loin pour trouver votre gîte

Nous vivons sous un prince ennemi de la fraude

D'un fin discernement sa grande âme pourvue Sur les choses toujours jette une droite vue

D'où vient que, pour paraître, il [votre zèle] s'avise d'attendre Qu'à poursuivre sa femme il ait su vous surprendre, Et que vous ne songez à l'aller dénoncer Que lorsque son honneur l'oblige à vous chasser ?