Citations sur tel. ii

Toute l'Égypte parut inconsolable de cette perte

Apprenez à tous ces bergers les charmes de l'harmonie

Les vents retenaient leurs haleines

Les grâces dont la nature a orné la campagne

Les marteaux faisaient gémir les cavernes de la terre

On entendait le gazouillement des oiseaux

Quand on fit les funérailles du roi

Le port semblait fuir derrière nous

Conduire leurs brebis, les tondre, traire leur lait et faire des fromages

Défrichez cette terre sauvage, faites fleurir comme lui [Apollon] le désert

Les rois qui ne songent qu'à se faire craindre et qu'à abattre leurs sujets, pour les rendre plus soumis, sont les fléaux du genre humain

Le lion hérisse sa crinière.... il bat ses flancs avec sa longue queue

Les femmes [de Tyr] ne cessent jamais de filer les laines ou de faire des dessins de broderies ou de ployer les riches étoffes

Pour obtenir les faveurs du roi, on le flatte

Pour admettre les honnêtes gens dans sa familiarité

Les fruits que la terre épanchait de son sein

Ces yeux fermés et éteints, ce visage pâle et défiguré, cette bouche entr'ouverte qui semblait vouloir encore achever des paroles commencées

De profonds soupirs entrecoupaient toutes mes paroles

Je m'enfonçai dans une sombre forêt, où j'aperçus tout à coup un vieillard qui tenait un livre dans sa main

Le lion hérisse sa crinière, me montre ses dents et ses griffes, ouvre une gueule sèche et enflammée

On n'entendit plus [dans l'Etna] les coups des terribles marteaux qui, frappant l'enclume, faisaient gémir les profondes cavernes de la terre et les abîmes de la mer

Ses maîtres avaient empoisonné par la flatterie son beau naturel

Péluse où notre embarquement devait se faire

Je me souviendrai toute ma vie d'avoir vu.... cet air superbe et menaçant que la mort même n'avait pu effacer

L'onde était écumante sous les coups de rames