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Le croupier a devant lui un monceau de sapèques qu'il couvre avec une sébile en cuivre ; on fait les jeux ; puis il commence à compter les sapèques quatre par quatre, jusqu'au dernier groupe restant, qui se trouve être nécessairement de une, deux, trois ou quatre pièces ; on gagne ou l'on perd suivant qu'on a parié pour un de ces numéros
BOUSQUET
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