Citations sur delav.

Mais non vous affranchir d'un reste de contrainte....

Ce bonheur amer que la crainte empoisonne

Oui, jusque dans tes fers ton amant a porté Des monts qui l'ont nourri la sauvage âpreté

Des temples dépouillés les trésors vénérables Abandonnés en proie à la cupidité....

Dès que l'âge éclaira votre faible raison

Quoi ! pour livrer vos mains à d'indignes entraves

Prêtres, persévérez dans vos austérités

Quittez le cristal humide De nos ruisseaux toujours clairs

C'est trop me déguiser sous l'éclat qui t'abuse

Et tant d'écrits savants entassés dans nos murs Ont chargé mon esprit de leurs dogmes obscurs

Poursuivis, menaçants, l'un par l'autre heurtés

D'un soin officieux j'irritais sa blessure

[Ils] voguaient vers ces climats où l'Océan pour eux Sur l'ambre et le corail roulait ses flots heureux

Sur les trépieds ardents l'huile à grands flots ruisselle

Dans les forêts que leur souffle balance, Les brises du matin célèbrent son retour [du soleil]

Je priais ; par degrés d'affreux pressentiments D'une terreur croissante ont pénétré mes sens

Est-ce là cette humeur inflexible et sauvage Qui fuyait de la cour le brillant esclavage ?

Dans les forêts que leur souffle balance Les brises du matin célèbrent son retour

Ô bonheur de se voir adoré, Qu'avec emportement mon coeur t'a désiré !

Entrez, dira le choeur des anges, ô vous d'un Dieu de paix les enfants bien-aimés !

Quand on est candidat, on court plus qu'on ne pense

Un lis penche et se décolore

Votre longue indulgence A de nos chevaliers enhardi la licence

Peut-être un meurtrier parmi vous s'est glissé

Dans le fond du sérail ils vont t'emprisonner