Citations sur destouch.

Le comte : Quant à moi, j'aime la politesse. - Lisimon : Moi je ne l'aime point, car c'est une traîtresse Qui fait dire souvent ce qu'on ne pense pas

Un mari de votre âge est piètre marchandise

Hom ! celle-ci n'a pas tant de goût pour la danse

À la tentation succombez donc de grâce

Jusqu'au revoir, Frontin. - Adieu, belle poulette

... Pour fuir un éclat, monsieur, je vous conjure, De me tirer d'ici dès demain, dès ce soir, Pour que Valère et moi nous cessions de nous voir

Et les aînés tout seuls peupleront-ils le monde ?

Julie : Il trouve le panier ridicule, incommode, Et pour cet ornement il marque tant d'horreur...., - Lisette : Convenez que le vôtre est d'une riche ampleur : Je ne m'étonne pas qu'il lui choque la vue

Et j'ai dans mon pupitre Des billets au porteur dont je fais plus de cas Que de vieux parchemins, nourriture des rats

Je connais une jeune pouponne Qui voudrait vous pouvoir offrir une couronne

Oh çà, nous sommes parfaitement seuls ; ne me cachez rien, ma petite poule

Je veux le faire, moi, mourir sous le bâton, Ou le gueux dès ce soir quittera ma maison

Quoiqu'il soit, m'a-t-on dit, un franc original

Ce palsambleu est impayable ; c'est un petit tour cavalier qui frappe, qui saisit ; j'aime les tours cavaliers

Un père d'ordinaire à son fils, tout au moins, fournit le nécessaire ; Ici, tout au rebours, le fils depuis dix ans....

Il ne faut rien outrer, quand on veut être sage

Il se promène avec un vieux roquentin qui a la barbe plus longue que ma chevelure

Petite raisonneuse, Qui veut parler sur tout et ne dit jamais rien

Voilà mon glorieux bien tombé ! sa hauteur Avait, ma foi, besoin d'un pareil précepteur

Oui, oui, défaites-vous de cette tracassière

Ah ! monsieur, sur mon compte on tient bien des propos

Et dites-moi, monsieur, la remarierez-vous ?

Vous voyez que je m'ouvre Librement avec vous....

Une femme prudente est la source des biens

Un blondin favori Qui prend en tapinois la place du mari