Citations sur connais

Déjà j'en connais quelques-uns qui prétendent avoir arsouillé (vous savez toute la valeur de ce terme) dans la révolution, et sont tout prêts à se remettre à la besogne, pourvu que ce soit pour tuer les coquins de riches, d'accapareurs....

Je ne lui connais d'autre force dans l'âme que l'inflexible raideur avec laquelle il exige que tout plie sous ses volontés passagères

Je lui dirais bientôt : je connais tous vos pères, Je sais qu'ils ont brillé dans ce fameux combat Où sous l'un des Valois Enghien sauva l'État

Comme je le connais facile à s'emporter, Je mets tout mon plaisir à l'impatienter

Je ne connais pas de meilleure école de logique et de dévotion philosophique que les polypes et les animalcules des infusions

Je sais combien le champ où vous moissonnez est riche, et je connais le moissonneur

Je ne connais aucune observation qui prouve qu'un mulet ait engendré ; mais il est des observations bien attestées qui prouvent que des mules ont engendré un muleton

Si ce ne sont là des rébellions et des félonies manifestes, je n'en connais plus dans les histoires

J'en connais un dont j'ai lu un commentaire sur Job

On dit que cet abbé, que je ne connais point du tout... est un homme de fort peu de capacité, qui passa sa vie à tailler à la bassette

Monsieur, je ne suis pas gentilhomme. - Ésope : Tant mieux ; Je n'en connais aucun qui soit pécunieux

Je connais de beaux et grands jeunes hommes qui ont pour épouses de petites guenuches de femmes

De tous les acides, je ne connais que l'oxalique qui dissolve complétement la rouille, sans affecter l'étoffe

Mais je connais bientôt que ma veine glacée....

Et je connais peu de vrais biens Dont on puisse jamais attendre Le plaisir que me fit la fausseté des miens

Tu connais donc son fils ? Encore moins, reprit-il

Toi qui connais ce peuple et sais qu'aux champs de Mars Lâchement d'une femme il suit les étendards

Je connais tes détours et devine tes ruses

Sans l'avoir jamais vu, je connais son courage ; Qu'importe après cela quel en soit le visage ?

J'en [de mes crimes] connais mieux que vous toute l'énormité

Seigneur, moi qui connais le fond de son courage Et qui n'ai jamais vu de fard en son langage

Je sais des gens de cour quelle est la politique ; J'en connais mieux que lui la plus fine pratique

Et de si longue main je connais ta prudence....

Et comme je connais sa générosité, Nous ne nous combattons que de civilité

Et, pour trancher enfin ces discours superflus, Albe vous a nommé, je ne vous connais plus