Citations sur venez

Parlez donc, mons Frise-Pavets, savez-vous bien ce que vous venez de dire ?

Il paraît bien que vous avez respiré l'air de Florence, que vous vous êtes coloré au soleil de Rome, que vous venez nouvellement du pays natal de la rhétorique

J'ai ma pipe et vos embrassades, Venez me donner mon congé

Venez tous, passants, venez lire L'épitaphe que je me ais

Venez tous, passants, venez lire L'épitaphe que je me fais ; J'ai chanté l'amoureux délire, Le vin, la France et ses hauts faits

Des roses de la tendresse Venez semer mes jours

L'homme, venez au fait, n'a-t-il pas la raison ? N'est-ce pas son flambeau, son pilote fidèle ?

L'homme, venez au fait, n'a-t-il pas la raison ? N'est-ce pas son flambeau, son pilote fidèle ?

Venez maintenant, pécheurs.... venez voir d'où la main de Dieu a retiré la princesse Anne ; venez voir où la main de Dieu l'a élevée

Accourez, peuples, venez contempler dans la première place du monde la rare et majestueuse beauté d'une vertu toujours constante

Glaive du Seigneur, quel coup vous venez de faire ! toute la terre en est étonnée

Ô richesses, vous n'avez qu'un nom trompeur ; vous venez pour me remplir, mais j'ai un vide immense où vous n'entrez pas

Par l'effet du même transport qui vous fait parler aux hommes de vos prétentions, vous en venez encore parler à Dieu, pour faire servir le ciel et la terre à vos intérêts

Sortez, Parole éternelle, Fils unique du Dieu vivant, sortez du bienheureux sein de votre Père, et venez annoncer aux hommes le secret que vous y voyez

Accourez, peuples ; venez contempler dans la première place du monde la rare et majestueuse beauté d'une vertu toujours constante

Mais venez à la contrarier dans une rencontre, vous la trouverez fière, hautaine, impatiente et aigre

Vous venez de courir quarante postes sans vous arrêter

Pour Dieu, espoir, venez le secourir ; Il a en vous sa fiance fermée, Ne lui veuilliez à son besoin faillir

Venez avant, dist-il, plaisant Beaulté, Je vous requier que sur la loyauté Que me devez, le venez assaillir

Vous êtes officier de notre bon roi, car vous venez de dire son juron

Vous venez de parler du mien [amant] si dignement

Vous savez l'action, vous la venez d'entendre

Aussi, dans le discours que vous venez d'entendre, Je parlais pour l'aigrir et non pour me défendre

J'ignore à quel sujet vous m'en venez instruire

Oh ! la belle lettre, mon cher maître, que vous venez d'écrire à frère Damilaville sur l'affaire du malheureux Sirven !