Citations sur marot

Levay les yeux, et promptement je veis Du grand portail sur la sublimité Le corps tout nud et le gracieux vis De Cupido

Jà le laurier te prepare couronne ; Jà le blanc lis dedans ton bers fleuronne

Quand il seroit ainsi merché, Il sera aisé à cognoistre

Ce sont renards, qui sous simples habits Vont devorant les plus tendres brebis

Tetin qui n'a rien que la peau

Petit ennuy un grand ennuy appaise ; Bref, sans ennui, trop fade seroit l'aise

Vien-ça chacun, je te veux faire entendre Et te monstrer la voye où tu dois tendre

Du bruit des voix tout l'air fendoit

Approche toy, et te mets en ma place

Mon cher enfant, tu n'as point merité Que te renonce [désavoue]

Quand on te voit, il vient à maints Une envie dedans les mains De te prendre avec les gants doubles Pour en donner cinq ou six couples De souffletz....

Tant et plus

Arreste-toi, lisant, Ci-dessous est gisant.... Ce renommé Langeay

[Les rivières] Qui d'une part en la terre se boivent : Autres plusieurs en la mer se reçoivent

En ceste nuict le dieu d'amours resveille Ses serviteurs....

Le vent, s'il luy commande, Souffle tempestueux, Et s'enfle en la mer grande Le flot impetueux

Au roy du ciel et du monde univers

On aura à vil prix la serge, J'en tends que le bagage on charge

Quand je voy Barbe en habit bien duisant, Qui l'estomac blanc et poly descoeuvre....

... quand jamais elle ne t'escriroit, Ja pour cela t'amour ne periroit

Ô grand' fortune ! o crevecueur trop gref

Besoin luy est d'eslongner la personne à qui son coeur enamouré se donne

Jusqu'à la mort, d'ame t'eusse clamée ; Mais un nouveau t'a si bien reclamée, Que tu ne veux qu'à son leurre venir

Chantons Noel tant au soir qu'au desjuc

Et de faict je tiens tant de ly