Citations sur th. corn.

Elle est presque toujours sur le raisonnement, Et, raisonnant, raisonne irraisonnablement

Avec ton nez bridé de ta coiffe importune, Ta ténébrosité m'en pourrait bailler d'une

Le monde de Madrid est plus futé qu'ici

Beau père, je suis las D'entendre un harangueur à qui je ne plais pas

Ce que je prétends faire ? Ne le pas secourir du moindre verre d'eau

Arrête, dieu muet, n'écache point mon bois

Le parjure Thésée a mérité ma haine

Viendra-t-il ? - Oui, monsieur, où vous lui marquerez

Un certain don Félix, qui d'abord franc et net M'est venu régaler d'un plantureux soufflet

C'est pour vous avertir de ce qu'il vous faut craindre Qu'à ce triste entretien j'ai voulu me contraindre

Une ostrogote faite en dépit de nature

Pourvu qu'à te gêner le remords s'étudie

Sous le feuillage épais d'un verdoyant ormeau

Madame, de ces maux à qui la raison cède, Le temps, qui calme tout, est l'unique remède

Vous avez cru Thésée un héros tout parfait ?

Je ne dirai point combien mon coeur alors Sentit, par son amour, d'extatiques transports

Oyez-vous la friponne ? elle parle pour soi

Mille jolivetés qui dans l'esprit me viennent

À quoi bon ces mouvements jaloux ? Je sors pour ne me point échapper devant vous

Cette noble inclination, qui s'explique si souvent pour tant de monde par les effets les plus avantageux

Te voilà bien, cadet ; tiens-y-toi

Pour vouloir fuir le mal, quelquefois on l'empire

L'amour, comme tu sais, est un enfant gourmand ; Et, pour rassasier sa faim trop convoiteuse, Je trouve des soupirs une viande creuse

Vous faites aujourd'hui l'entretien de la ville

Et, grossissant ma cour d'esclaves différents, J'écoute les soupirs, et ris des soupirants