Citations sur th. corn.

Sur les cent mille écus dont on m'a cru leurrer, Dites, combien la nièce a-t-elle à retirer ?

C'est une gueuse Qui gagne ses habits au métier de coureuse, Et qui, poussant le leurre autant qu'elle pourra, Se titrera marquise et vous attrapera

Et, pour vous en punir, vous mourrez vieille fille

La décoration en est bien entendue

Madame, on a du comte examiné le seing ; Les écrits sont de lui, nous connaissons sa main

Ton poil déjà grison et ta nasillardise

N'importe, efforçons-nous et payons d'impudence

Mais comme enfin son père A tant et tant de biens qu'il n'en saurait que faire

Et si de mon amour ce tendre sacrifice De ta légèreté ne rompt point l'injustice

La tante : Mais il [un mari] était si vieux. - Lisette : J'entends, pour réconfort Vous en voulez un jeune

Les beaux habits, monsieur, mangent mon petit fait

La comtesse a pris soin d'amasser des écus ; Il faut la mitonner

Il connaît et son crime et son ingratitude, Il s'en hait, il en sent la peine la plus rude

Mais de ton faux amour les feintes concertées, Les noires trahisons, les ai-je méritées ?

À la fin la colère m'emporte ; Ah ! le vilain magot qui refuse les gens !

Il vous souvient de plus que le roi votre père.... - Jodelet : Ma foi, s'il m'en souvient, il ne m'en souvient guère

C'est aussi par tes dons qu'on me voit si poupine

Voyons si les effets répondront aux paroles

Je prétends être noble et non pas, Dieu merci, De ceux qui seulement le sont così così

Mais aussi bien que moi vous avez ouï dire Que fille qui choisit bien souvent prend le pire

Sa rigueur s'étudie assez à m'accabler

Il n'est pas sans mérite, et doit être écouté : Par lui-même, ou du moins par l'ancienneté ; De tous mes protestants c'est le premier....

Fatigues, peines, maux, j'aimais tout pour leur cause

Pour elle contre vous qu'ai-je oublié de faire ?

Mais dans quelque haut rang que vous soyez placé....