Citations sur th. corn.

Pardonnez, ma divine comtesse, Pour duper le barbon il faut vous tutoyer

Tous les traits en seraient plus vivement tracés

Je suis fort périlleux

De cette propre main j'ai fait ma portraiture

Son bien répare assez le manque de noblesse

Mais plus dans un haut rang la faveur vous a mis, Plus la crainte de choir vous doit rendre soumis

Pour moi, je l'avoûrai, sa trahison me fâche

Vous avez la visière mal nette

Au pied de l'échafaud je le trouve arrêté

Et que, tant que le jeu me laissera de quoi, Si tu prends à crédit, j'irai payer pour toi

Enfin il faut du sang pour laver mon injure

N'importe, efforçons-nous et payons d'impudence

D'assez belle encolure et de plus mon cousin

Je ne dirai point combien mon coeur alors Sentit, par son amour, d'extatiques transports

La comtesse partout emportera le prix ; Dans sa petite taille elle a l'air si bien pris

Lise : Elle n'a que vingt ans. - Le marquis : Bien lui prend ; la jeunesse est mon goût....

Il connaît et son crime et son ingratitude, Il s'en hait, il en sent la peine la plus rude

Cependant au torrent je me laisse entraîner

Il est plus difficile à ferrer qu'une mule

Thésée applaudi à l'infidélité par là s'est enhardi

Je ne sache en ma race aucun forlignement

Des longs ennuis où ce retard l'expose, Par ma facilité je me trouve la cause

De quels serments faussés suis-je vers vous coupable ?

J'ai beau la conjurer de montrer son visage ; Ma prière au refus obstinément l'engage

Je voulais de l'argent pour acheter des pipes ; Et, loin de m'en fournir comme j'aurais pensé, Peut-être ce jour-là vous auriez tout mâssé