Citations sur th. corn.

Je ne sache en ma race aucun forlignement

Ce doit être sans doute un esprit qui revient

Ne quitte point, Lisette, et demeure avec nous

....Je ne sais ce que c'est ; Suis-je un tueur de gens ? - On palliera l'affaire

Voyez le bel oison qui remontre à sa tante

Mais de ton faux amour les feintes concertées, Les noires trahisons, les ai-je méritées ?

J'en connais l'enclouure, et je sais bien par où Vous faire devenir un peu moins loup-garou

De cette propre main j'ai fait ma portraiture

Au pied de l'échafaud je le trouve arrêté

Que faut-il faire donc pour le modifier [un amour qu'on trouve trop grossier] ?

Et sans plus m'écouter, il a tiré chemin

Sachez adroitement ce qu'on dit à la cour

Cependant au torrent je me laisse entraîner

Prince, je monte au trône ; et vous m'abandonnez ! Fuir d'en être témoin, est-ce chérir ma gloire ?

La décoration en est bien entendue

C'est pour vous avertir de ce qu'il vous faut craindre Qu'à ce triste entretien j'ai voulu me contraindre

Quand j'empêche sa mort, il m'arrache la vie

Beau-père, ainsi je crois que je suis gentilhomme ; Hem ?

Peste, l'heureux grison ! qu'il est rablu !

Madame, on a du comte examiné le seing ; Les écrits sont de lui, nous connaissons sa main

Un esprit bas, rampant, qui ne sent que la fange

Comme après le coup fait vous étiez évadé

Car enfin il en est qui, pendant tout un mois, Comme des loups-garous ne dorment qu'une fois ; Leur curieuse humeur toujours les inquiète