Citations sur th. corn.

C'est l'amour du vieux temps, il n'est plus à la mode

Mais tant s'estomaquer n'est pas fort nécessaire

Oui, mais enfin parlons sans nous équivoquer

Tu fais le guet pour eux et les laisses surprendre

On ne l'entend jamais De ce charmant héros élever les hauts faits

Sachez adroitement ce qu'on dit à la cour

Jamais si lourdement a-t-on pu se méprendre ?

Ne parlons que de joie, et jusqu'au conjungo Laissez-moi, s'il vous plaît, m'en donner à gogo

Le plus grand de mes maux est de ne t'aimer plus

Le tabac est divin, il n'est rien qui l'égale

Fatigues, peines, maux, j'aimais tout pour leur cause

Ton poil déjà grison et ta nasillardise

Vous n'avez rien senti des coups que j'ai reçus, Et c'est moi seulement qu'il faut qu'on désaffronte

Si j'osais pour douceur te bien paumer la gueule

Je voulais de l'argent pour acheter des pipes ; Et, loin de m'en fournir comme j'aurais pensé, Peut-être ce jour-là vous auriez tout mâssé

Vous avez la visière mal nette

Mais aussi bien que moi vous avez ouï dire Que fille qui choisit bien souvent prend le pire

À de pareils hâbleurs il faut apprendre à vivre

Oyez-vous la friponne ? elle parle pour soi

Sous le feuillage épais d'un verdoyant ormeau

Vous y savez, monsieur, d'admirables rubriques

Car me devant respect, et l'ayant mal gardé, Le moindre châtiment c'est d'être nasardé

À peine entre nos mains il se voit sans espoir, Qu'usant d'un stratagème à combattre le nôtre, Il veut obstinément qu'on l'ait pris pour un autre, Et d'un tel contre-sens soutient tout ce qu'il dit, Qu'il semble qu'en effet il ait perdu l'esprit

Que maudit soit Ovide et toute sa séquelle !

Mais comme enfin son père A tant et tant de biens qu'il n'en saurait que faire