Citations sur voltaire

Je vois Grandval revenir grasseyer à l'hôtel des comédiens ordinaires du roi

Il [Gustave Wasa] punit la religion catholique des attentats de ses ministres ; en moins de deux ans, il rendit la Suède luthérienne par la supériorité de sa politique plus encore que par autorité

Il y a deux sortes d'imagination, l'une qui consiste à retenir une simple impression des objets, l'autre qui arrange ces images reçues et les combine en mille manières

Ah ! de mes jours usés le déplorable reste Doit-il être acheté pour un prix si funeste ?

[Un sauf-conduit] sauvegarde rarement efficace, depuis que l'empereur Sigismond, ayant protégé Jean Huss, le laissa rôtir par le pieux concile de Constance

Les enfants croyaient au loup-garou, et les pères au cordon de Saint-François

Notre principal avantage est au bout de nos doigts : nos paysans ont eu l'industrie de travailler en horlogerie pour les Génevois

Ma voix ferait sur eux les effets du tonnerre

Je pleure mon destin, je gémis sur mon père

Une belle demoiselle plus grande que Mme M.... de deux doigts, plus jeune, plus étoffée

Les services et non les aïeux furent comptés, ce qui ne s'était guère vu encore

Tu n'es qu'un conjuré paré d'un nom sublime, Que l'impunité seule enhardissait au crime

L'argent destiné pour les frais du théâtre d'Athènes était un argent sacré : il n'était pas même permis d'y toucher dans les plus grandes nécessités et dans les plus grands dangers de la guerre

Il sentit son coeur s'amollir et se dissoudre, comme les aromates de son pays fondent doucement à un feu modéré et s'exhalent en parfums délicieux

L'homme sacrilége est celui qui se parjure sur l'Évangile, qui étend sa rapacité sur les choses sacrées, qui détruit les autels, qui trempe sa main dans le sang des prêtres

Empêchons, croyez-moi, que ce peuple orgueilleux Au fer qui l'a dompté n'accoutume ses yeux

Ce coeur né pour haïr qui brûle avec fureur

Remarquez, s'il vous plaît, mon cher lecteur, la malice du paillard qui outrage si clandestinement la mémoire de mon oncle

Mlle Clairon, qui déclame des vers à ravir

Ranimant ma force et soulevant ma chaîne

Les lémures et le sabbat fuyaient à l'apparition du jour ; la mainmorte doit disparaître devant la raison, la religion, la justice et la politique

Pensez-vous affaiblir ma gloire et ma puissance En décriant mes soins, mon état, ma naissance ?

J'ai fait, jusqu'au moment qui me plonge au cercueil, Gémir l'humanité du poids de mon orgueil

On a représenté les chefs-d'oeuvre de la France devant toutes les cours et dans les académies d'Italie ; on les joue depuis les rivages de la mer Glaciale jusqu'à la mer qui sépare l'Europe de l'Afrique

Un peu de vin pris modérément est un remède pour l'âme et pour le corps