Citations sur voltaire

Revoyant des Français le glorieux empire

Autrefois notre émule, à présent notre appui

Patkul.... fut député de la noblesse livonienne pour porter au trône les plaintes de la province

Ces lois qui, de la terre écartant les misères, Des humains attendris font un peuple de frères

Philippe II n'avait jamais combattu ; il n'était après tout qu'un tyran laborieux, sombre et dissimulé

Maître Joli de Fleuri assemblerait les chambres contre tout autre, et on lacérerait l'écrit scandaleux

Un des Omer disait qu'il ne mourrait pas content qu'il n'ait vu pendre un philosophe ; je peux l'assurer que ce ne sera pas moi qui lui donnerai ce plaisir

Un bal où parurent plus de cent masques habillés de guenillons superbes

Avec Téone ils [les juges] avaient ri ; Avec Apamis ils pleurèrent ; J'ignore, et j'en suis bien marri, Quel est le vainqueur qu'ils nommèrent

Le cardinal de Richelieu n'eut les provisions de premier ministre qu'en 1629, le 21 novembre ; Louis XIII les signa seul de sa main

Telle a été depuis le commencement du seizième siècle la situation de la France, que, toutes les fois qu'elle a été en guerre, il a fallu combattre à la fois vers l'Allemagne, la Flandre, l'Espagne et l'Italie

Les papes sont presque toujours des Italiens blanchis dans les affaires

....quand, le jour.... Il [Frédéric] a campé, marché, recampé, ferraillé, Écouté cent avis, répondu, conseillé

L'on compte quatre-vingt-dix-huit ordres monastiques dans l'Église ; soixante-quatre qui sont rentés, et trente-quatre qui vivent de quête, sans aucune obligation, disent-ils, de travailler ni corporellement ni spirituellement pour gagner leur vie, mais seulement pour éviter l'oisiveté

Que m'importe que tu sois tempérant ? c'est un précepte de santé que tu observes, tu t'en porteras mieux, et je t'en félicite

Est-il un homme plus avili ? Si notre scène devient anglaise, nous sommes bien avilis ; nous ne sommes déjà que les traducteurs de leurs romans

Ardents à désunir le peuple et le sénat

Allez doucement, il fait glacé, vous vous rompriez les jambes

Pour aimer à donner des soins compatissants

Mais que Phorbas est lent pour mon impatience !

....La mollesse est douce et sa suite est cruelle

J'abdique pour jamais le rang de sénateur

D'un rouge brun sa paupière est bordée

Je vois à l'amour seul ma maîtresse asservie

Je consacre à mon Dieu, négligé trop longtemps, De ma caducité les restes languissants