Citations sur votre

Ô jours de mon printemps, jours couronnés de rose, à votre fuite en vain un long regret s'oppose

Enfants, car votre voix est enfantine et tendre, Vos discours sont prudents plus qu'on n'eût dû l'attendre

Ô jours de mon printemps, jours couronnés de rose, à votre fuite en vain un long regret s'oppose

Ô jours de mon printemps, jours couronnés de rose, à votre fuite en vain un long regret s'oppose

Camille : Si le curé de votre paroisse soufflait sur un verre d'eau, et vous disait que c'est un verre de vin, le boiriez-vous comme tel ? - Perdican : Non. - Camille : Si le curé de votre paroisse soufflait sur vous, et me disait que vous m'aimerez toute votre vie, aurais-je raison de le croire ?

Ce n'est pas votre faute, la mère

Vous n'avez pas votre égal au billard pour le bloc fumant et le carambolage de douceur

Quand on vous demandera là où vous avez abandonné votre capitaine, souvenez de rezpondre que ce a esté à Orchomene

.... Pour déjouer leurs horribles projets, Il faut de votre main m'immoler....

Ah ! c'est trop fort ; vit-on jamais pareille usure ? - Monsieur, je ne crois pas mériter cette injure Pour avoir obligé monsieur votre neveu ; Je l'aimais chèrement. - Il y paraît, morbleu !

Alors.... votre navigation augmentera, et vous pourrez concurrencer les marines étrangères

.... Était-ce donc à des honneurs futiles, Romains, que se bornaient les voeux de votre ami ?

Et nous l'aurons.... malgré vos machines à décrets, qui viennent moutonnièrement, sur votre message, de décréter la peine de mort contre ceux qui demanderont cette constitution de 93

Ce M. de Luçon avait un je ne sais quoi de votre voisin qui lui avait chatouillé l'esprit

Je défère tant à votre jugement que je ne veux plus avoir mauvaise opinion de moi

Nous nous assurons en quelque chose de divin qui accompagne votre personne, et qui porterait bonheur à des affaires encore plus déplorées que les nôtres

Ne pensez pas leur faire plaisir [aux prophètes et aux apôtres] de leur prêter si libéralement, et sans qu'il en aient besoin, vos épithètes et vos métaphores, de les charger de votre chimie et de vos diamants de verre

Pourquoi, à votre avis, tant de périls et tant de combas ? vous plaît-il, madame, que je vous le die ?

Afin que nous n'ayons point peur que votre vertu nous égratigne

Épaississez-vous un peu le sang ; tempérez votre feu par votre flegme

Que ce soit votre peuple qui soit votre favori ; cet avis fut donné autrefois à un grand prince

Que je voie toute la cour par vos yeux, que j'assiste à tous les sermons par vos oreilles.... et qu'il ne revienne point de courrier qui ne soit chargé d'une gazette de votre style

Je suis plus ami de la vérité que de votre humeur

Si votre grand esprit cherche de grandes choses pour s'occuper, il les trouvera infailliblement à Rome

J'emploie toutes choses, monsieur, les raisonnables et les insensibles, pour vous persuader votre retour