Citations sur bÉr.

Travailler serait un abus : J'ai cinquante écus

Privés de son jus tout-puissant [le jus de la treille], Nous avons vaincu pour en boire

Vous rampiez tous, ô rois qu'on déifie

À la guinguette instruisant ces recrues, D'obscurs lauriers j'ai fait large abatis

Oui, j'irai sur les tourelles Former des accords plaintifs

J'ai pris goût à la république, Depuis que j'ai vu tant de rois

Sans même essayer la nacelle, Nous voyons s'enfler les ballons

Électeurs, j'ai, sans nul mystère, Fait de bons dîners l'an passé

Sur cent premiers peuples célèbres, J'ai plongé cent peuples fameux Dans un abîme de ténèbres, Où vous disparaîtrez comme eux

La nuit revient son ombre [du ménétrier] : Oyez ces sons lointains

Que de caprices la coquette M'a fait essuyer en six mois !

J'étais en habit de gala

Des bananiers, qui donnent toute l'année de longs régimes de fruits

Un essaim de grivois Buvant à leurs mignonnes

Au détour d'une eau qui chemine, à flots purs sous de frais lilas, Vous avez vu notre chaumine

Je gage, s'il naît un Voltaire, Qu'on emprunte pour l'acheter

Monsieur jure après nous ; Mais à tout qu'il se fasse ; Du livre des époux Il n'est qu'à la préface