Citations sur lauriers

Pourquoi de mes loisirs accuser la langueur ? Pourquoi vers des lauriers aiguillonner mon coeur ?

À la guinguette instruisant ces recrues, D'obscurs lauriers j'ai fait large abatis

Quand ses lauriers [du Pinde] .... Vont balayer la fange des cachots

Les rois boiront, Tous en rond ; Les lauriers serviront D'échalas à nos vignes

Rappelez-leur que l'aquilon terrible De nos lauriers a détruit vingt moissons

Rappelez-leur que l'aquilon terrible De nos lauriers a détruit vingt moissons

Les rois boiront Tous en rond ; Les lauriers serviront D'échalas à nos vignes

Mais, quelques vains lauriers que promette la guerre, On peut être héros sans ravager la terre

Si bientôt imprimant ses sottes rêveries, Il ne se fait graver au devant du recueil, Couronné de lauriers par la main de Nanteuil

Méritez les lauriers qui vous sont réservés, Et ressouvenez-vous quel prélat vous servez

Quand les lauriers sont épanouis, et que le jet d'eau effrange sur leurs fleurs roses ses dentelles d'argent...

.... Ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers ?

Chaque jour, chaque instant, pour rehausser ma gloire, Met lauriers sur lauriers, victoire sur victoire

Avec tous vos lauriers craignez encor le foudre. - Je l'attendrai sans peur. - Mais non pas sans effet

Et rende notre Espagne en lauriers si féconde

Aux lauriers immortels qui lui ceignent le front

Et ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers ?

Qui n'est point de son sang ne peut faire d'affront Aux lauriers immortels qui lui ceignent le front

Après tant de hauts fait il m'est bien doux, seigneur, De voir sous les lauriers qui vous couvrent la tête Un si grand conquérant être encor ma conquête

Je verrai les lauriers d'un frère ou d'un mari Fumer encor d'un sang que j'aurai tant chéri ; Pourrai-je entre vous deux régler alors mon âme ?

Qui n'est point de son sang ne peut faire d'affront Aux lauriers immortels qui lui ceignent le front

Dors, ô fils d'Apollon ; ses lauriers te couronnent ; Dors en paix : les neuf soeurs t'adorent comme un roi ; De leurs choeurs nébuleux les songes t'environnent, La lyre chante auprès de toi

Des vrais lauriers sages dispensatrices, Muses, jadis mes premières nourrices

À l'ombre des lauriers qui t'embrassent la tête

J'honore tant la palme acquise en cette guerre, Que si, victorieux des deux bouts de la terre, J'avais mille lauriers de ma gloire témoins, Je les priserais moins