Citations sur bern. de st-p.

Tu couvres.... les vastes campagnes.... de ton voile de safran et de vermillon

Nous retirâmes des flots le malheureux Paul sans connaissance, rendant le sang par la bouche et par les oreilles

Tout naïre ou raispoute peut nous tuer, si nous l'approchons seulement à portée de notre haleine

Elle agrége dans le sein de la terre les grains de sable en cristaux

On n'a point élevé de marbre sur leurs humbles tertres

Je rencontrais toujours quelque plante comestible qui avait survécu à la ruine des cultivateurs

Le Cafre tira d'un lambeau de pagne.... un petit marmouset de bois

Je m'en revins en France par la Pologne

Les champignons et les mousses, dont quelques espèces sont comestibles

Tous les animaux n'odorent pas, mais tous respirant, l'air est nécessaire à leur existence

Majestueuses forêts, paisibles solitudes, qui plus d'une fois avez calmé mes passions, puissent les cris de la guerre ne troubler jamais vos résonnantes clairières !

Tout homme qui a eu beaucoup à se plaindre des hommes, cherche la solitude

Dieu eût contrevenu aux lois qu'il a établies lui-même

Si nous avons découvert que le fer entre dans la composition des végétaux, c'est par le moyen de leur cinération et de l'aimant

Il [le navire] était déjà disparu, qu'il croyait le voir encore : et, quand il fut perdu dans la vapeur de l'horizon, il s'assit dans ce lieu sauvage

Un éclair brille dans la nuée fendue par le tonnerre, et parcourt de ses rubans de feu les nuages épars dans la région de l'air

Rien en effet n'était comparable à l'attachement qu'ils se témoignaient déjà

Les voix des oiseaux carnassiers sont aussi désagréables que leur figure et leur plumage ; ils ne font retentir les airs que de sons aigus ou glapissants

Des rotins qui serpentaient à son orée [d'un bois] couvraient le pied de ces arbres

Paul, les yeux enflammés de colère, criait, serrait les poings, frappait du pied, ne sachant à qui s'en prendre

La mouche exécute toutes sortes de vols, et, quand il lui plaît, elle s'arrête en l'air et y devient stationnaire

C'est ainsi que le chardonneret affectionne le chardon, dont il a pris son nom