Citations sur jean froissard

En amonestant et priant les contes, les barons et les chevaliers, qu'ils voulussent entendre et penser pour son honneur garder et defendre son droit, et leur disoit ces langages en riant si doucement et de si liée chere, que....

Ils [les cardinaux qui voulaient amener la paix entre les deux partis] les trouverent si durs et si mal descendans à accord, qu'ils ne les pouvoient approcher de nulle paix

Vous perdez le temps ; car, sur l'abandon de nos testes, les Escots s'en sont allés très devant mie nuit

Puis prirent le portier et le tuerent si paisiblement qu'oncques ne dit mot

Jean Harleston fist sonner ses trompetes et armer toutes ses gens d'armes, tant de cheval que de pié, et fit tout tirer aux champs

Il [l'archevêque de Cantorbie] le [Jean Balle] faisoit grand conscience de le faire mourir

Celui [Artevelle] estoit entré en si grand fortune et en si grand grace à tous les Flamands que c'estoit tout fait et bien fait quant qu'il vouloit deviser et commander par tout Flandre, de l'un des costés jusques à l'autre

En ce temps que je dis, avoit en la ville de Gand deux vaillans hommes sages et prudhommes de bonne vie et de bonne conversation

Seigneurs, nous vous disons pour le mieux que vous n'ayez nulle accointance ni challandise à ceux de Flandre

Donna le pape pleine puissance [aux cardinaux] de faire ce qu'il pouvoit faire, reservé aucuns cas papaux

Sire, vecy la representation de la ville de Calais à vostre ordonnance [les six bourgeois amenés devant Edouard]

Si devint le dit messire Robert de Namur homme feodal au roi d'Angleterre

Il avoit la roine et son ains-né fils dechassé hors d'Angleterre

Quand ils furent si avant que à la barriere, ils commencerent à assaillir faintement et à faire les simples

Et l'eussent bien avoir voulu plus bref, s'ils eussent pu ; mais nennin

Ce Croquart chevauchoit une fois un jeune coursier fort embridé, que il avoit acheté trois cents escus, et l'esprouvoit au courir

Le baron d'Escosse et les jeunes chevaliers et escuyers repondirent que ils estoient tous appareillés et pourvus de chevaucher en Angleterre du jour en l'endemain quand on voudroit

François Acreman, qui estoit compaing en toutes choses à Philippe

Or est cet estat [des gens d'armes] devenu autre maintenant que on parle de bassinets, de lances ou de glaives, de haches et de jaques

Sans l'aide des Anglois je ne me puis bonnement defendre contre les François, au cas que en ce pays nous sommes differens ensemble [divisés]

Les fourriers avoient moult de peine en querant vivres et fourrages pour les chevaux

Il ne cessa mie de faire grands promesses [Édouard aux Flamands] pour detenir leur amitié

Il s'affioit tant en sa puissance et prosperité et grandeur....

Par dons il attrairoit si le roi de France et son conseil....

Et messire Gille de Mauny le vit venant vers lui, qui ne desiroit autre chose que la joute