Citations sur jean froissard

Les aucuns [prisonniers] mis incontinent à finance, combien que messire Bertrand ne le fust pas si tost, d'autant que messire Jehan Chandos, qui estoit son maistre [qui l'avoit fait prisonnier], ne le vouloit point delivrer

Le jour de la Notre-Dame en mi-aoust

Ainsi qu'ils assembloient les coureurs dessus nommés qui costiés les avoient

Et dit que les moines estoient trop delicieusement nourris de bons vins et de delicieuses viandes, par lesquels delices et superfluités ils ne se pouvoient relever à minuit ni faire leur office.... et les remit aux oeufs et au petit vin pour avoir claire voix et chanter plus haut

Et ledit messire Hervey devoit pourchasser d'autre part que ceux de dedans seroient apaisés envers messire Charles, quittes et delivres, et ne perdroient rien de leur avoir

Quand il avoit lancé et il pouvoit sacher en fichant le havet en plates ou en haubergeon

Et trouverent cinq povres prisonniers anglois que les Escots avoient liés tous nuds aux arbres, par despit, et deux qui avoient les jambes brisées

Si les pria le dit roi cherement, qu'ils volsissent si bien penser

Il fit le roi d'Angleterre escrire au saint pere

De la mort Jean Lyon fut le comte grandement resjoui

Le sire de Montmorency qui bien se donna de garde de ce tour....

Et là chantoient un psaume du psaultier David qui dit ainsi....

Le roi manda le recteur et les maistres et docteurs de l'université de Paris

Dieu ne le vouloit mie souffrir [qu'ils se sauvassent] ; car leur peché leur encombra

Si s'avisera qu'il la conforteroit [Tournay] tellement et y envoieroit si bonne chevalerie que la cité seroit toute seure et bien conseillie

Les cardinaux se trairent en conclave au palais Saint-Pierre

Ils avoient coursiers et genests de sejour cinq ou six, et grosses ceintures d'argent

Nous devons bien avoir laissé le royaume de France.... quand nous sommes ainsi ravalés de vilains, et ne nous en veut-on faire droit

Ils estoient si forment obligés envers le roi de France que....

Ils estoient assaillis si roide, que presque les trois parts de la ville estoient à cet assaut

Et repondit [le comte de Flandre] que.... il envoyeroit à Tournay par son conseil hastivement reponse finale

Et moult souvant par trop boire.... ils avoient la foire

Il y eut là un chevalier breton qui partit de la main, pour en aller avertir Bertrand, Mém. sur Guesclin. ch. 5. Quand le roi de France entendit ce, si en fut durement courroucé ; car trop mieux lui estoit il là à main [le pape] que autre part

[Ceux de Karentan] sentoient sur mer l'admirault de France et l'admiral d'Espaigne avec lui gisant à l'ancre

[Le roi d'Angleterre à ses chevaliers avant la bataille de Crecy] et leur disoit ces langages de si lie chere, que qui fust tout desconforté, si se pust il reconforter en lui oyant et regardant