Citations sur jean de la fontaine

N'eût [Il] voulu pour beaucoup en être soulagé

Haro ! la gorge m'ard

Mais las ! étant pris à la piste, Il jure qu'il est arboriste, le Songe, stances écrites en 1616. Tu veux faire ici l'arboriste, Et ne fus jamais que boucher

Cent autres passions, des sages condamnées, Ont pris comme à l'envi la fleur de mes années

La lune nulle part n'a sa surface unie, Montueuse en des lieux, en d'autres aplanie

Séjour du frais, véritable patrie Des zéphyrs...

L'aigle donnait la chasse à maître Jean Lapin, Qui droit à son terrier s'enfuyait au plus vite

On se levait trop tard, on se couchait trop tôt

Quand lui verrai-je un poupon sur le sein ?

Quiconque ne voit guère N'a guère à dire aussi

êtes-vous d'Athènes la grande ?

.... Le rat dit : idiot ! Moi, ton [du chat] libérateur ! je ne suis pas si sot

Louis lui-même, effroi de tant de princes, Preneur de murs, subjugueur de provinces

Travaillez, prenez de la peine, C'est le fonds qui manque le moins

Il retourne chez lui ; dans sa cave il enterre L'argent et la joie à la fois

Mais un canal formé par une source pure, Se trouve en ces lieux écartés

Le cerf est reconnu, chacun prend un épieu ; Chacun donne un coup à la bête

Il [son habit de bergère] avait une telle grâce sur elle, que, si son ennemie l'eût vue avec cet habit, elle [Vénus] lui en aurait donné un de déesse en la place

On dit que ce bois que nous côtoyâmes fourmille de voleurs

Un pré Tout bordé de ruisseaux et de fleurs diapré

Rien de trop est un point Dont on parle sans cesse, et qu'on n'observe point

Misérables humains, ceci s'adresse à vous

Qui fut bien pris ? ce fut la feinte ouaille [homme déguisé en femme]

Mais les seigneurs sur leur tête Ayant chacun un plumail....

Les sages quelquefois, ainsi que l'écrevisse, Marchant à reculons, tournent le dos au port